Schloss Bellevue
Der Autor:
André Leyens, Jahrgang 1963, ist im deutsch-französischen Belgien geboren. An der Université de Liège – Belgien – studierte er Maschinenbau und schloss dieses Studium ab mit dem Ingenieur Civil Electromécanicien, Tendance Mécanique (Dipl.-Ing). Nach sechs Jahren als Betriebsleiter liess er sich zum Money Coach ausbilden. Heute praktiziert er „Finanzen zum Anfassen“ – als Berater, Trainer und Gastdozent an der Europäische Fachhochschule (EUFH) Brühl. Leyens ist alleinerziehender Vater, spielt in seiner Freizeit Fussball und Badmington und musiziert mit Freunden. Eine weitere Leidenschaft ist das Lesen. Er ist Money-Blogger und engagiert sich für Aufklärung im Finanzwesen – so, dass jede/r es verstehen und Spass daran haben kann: http://www.fizuma.blogspot.com/ http://www.av-fizuma.blogspot.com/ http://www.kids fizuma.blogspot.com/
Die Hochbegabung Lundi dernier, le président de la république fédérale d’Allemagne a démissionné à la grande surprise de tout le monde. Aprés les premiers chocs les critiques font très vite leur apparition quant aux raisons qu’il invoque pour sa démission.
Dans le journal télévisé du soir, Sigmar Gabriel, chef du parti socialiste SPD, compare la démission avec une fuite face à ses responsabilités. D’autres politiciens sont sur-le-champs cités avec des formulations semblables. Rapidement suit également une énumération des « erreurs » soit-disant commises par le président quant à son comportement dans la crise financière, la crise de l’euro. Il se serait tû trop longtemps.
On peut naturellement se poser la question, si la réaction de Horst Köhler n’est pas excessive, s’il invoque les attaques contre son interview sur le mandat de la Bundeswehr en Afghanistan comme raisons pour sa démission. Pour lui il s’agissait là d’un manque de respect pour sa position.
Je me suis posé pas mal de questions à ce sujet. En tant qu’étranger ma vue des choses est peut-être même différente.
Je vois le président comme une personne au-dessus des partis politiques, qui a – pour des raisons historiques compréhensibles – surtout le pouvoir de la parole. C’est un être humain, qui n’est donc pas sans fautes. Il a dit quelque chose dont le sens n’était peut-être pas très clair.
Mais n’est-ce-pas justement le respect pour sa position qui oblige à ne pas discuter ces « malentendus » en public ? N’est-il pas tout naturel, que l’on lui attribue tout d’abord les meilleures intentions, en toute conformité avec les lois en vigueur ?
Cela n’a eu lieu en aucun moment dans le débat actuel. Nous nous rappelons : l’interview en question est passé sur antenne plusieurs jours avant les commentaires. Tout de suite l’opposition a attaqué Horst Köhler, le supposant violé le droit constitutionnel.
On veut tenir le président à l’écart de la politique quotidienne. Pourtant c’est justement par ces commentaires que l’on l’y implique à nouveau et que l’on abuse de lui pour les besoins des partis politiques. Pour moi il s’agit là d’une contradiction.
Non, c’est quelque chose que l’on ne peut pas faire avec le premier citoyen de l’état, qu’il soit rusé dans le domaine de la politique ou « sensible ». Il y a peut-être eu d’autres raisons que nous ne connaissons pas ou que l’on nous dissimule. Mais j’espère que la démission était un signal clair de se comporter différemment avec la nouvelle présidente ou le nouveau président.
Dans le journal télévisé du soir, Sigmar Gabriel, chef du parti socialiste SPD, compare la démission avec une fuite face à ses responsabilités. D’autres politiciens sont sur-le-champs cités avec des formulations semblables. Rapidement suit également une énumération des « erreurs » soit-disant commises par le président quant à son comportement dans la crise financière, la crise de l’euro. Il se serait tû trop longtemps.
On peut naturellement se poser la question, si la réaction de Horst Köhler n’est pas excessive, s’il invoque les attaques contre son interview sur le mandat de la Bundeswehr en Afghanistan comme raisons pour sa démission. Pour lui il s’agissait là d’un manque de respect pour sa position.
Je me suis posé pas mal de questions à ce sujet. En tant qu’étranger ma vue des choses est peut-être même différente.
Je vois le président comme une personne au-dessus des partis politiques, qui a – pour des raisons historiques compréhensibles – surtout le pouvoir de la parole. C’est un être humain, qui n’est donc pas sans fautes. Il a dit quelque chose dont le sens n’était peut-être pas très clair.
Mais n’est-ce-pas justement le respect pour sa position qui oblige à ne pas discuter ces « malentendus » en public ? N’est-il pas tout naturel, que l’on lui attribue tout d’abord les meilleures intentions, en toute conformité avec les lois en vigueur ?
Cela n’a eu lieu en aucun moment dans le débat actuel. Nous nous rappelons : l’interview en question est passé sur antenne plusieurs jours avant les commentaires. Tout de suite l’opposition a attaqué Horst Köhler, le supposant violé le droit constitutionnel.
On veut tenir le président à l’écart de la politique quotidienne. Pourtant c’est justement par ces commentaires que l’on l’y implique à nouveau et que l’on abuse de lui pour les besoins des partis politiques. Pour moi il s’agit là d’une contradiction.
Non, c’est quelque chose que l’on ne peut pas faire avec le premier citoyen de l’état, qu’il soit rusé dans le domaine de la politique ou « sensible ». Il y a peut-être eu d’autres raisons que nous ne connaissons pas ou que l’on nous dissimule. Mais j’espère que la démission était un signal clair de se comporter différemment avec la nouvelle présidente ou le nouveau président.
Der Autor:
André Leyens, Jahrgang 1963, ist im deutsch-französischen Belgien geboren. An der Université de Liège – Belgien – studierte er Maschinenbau und schloss dieses Studium ab mit dem Ingenieur Civil Electromécanicien, Tendance Mécanique (Dipl.-Ing). Nach sechs Jahren als Betriebsleiter liess er sich zum Money Coach ausbilden. Heute praktiziert er „Finanzen zum Anfassen“ – als Berater, Trainer und Gastdozent an der Europäische Fachhochschule (EUFH) Brühl. Leyens ist alleinerziehender Vater, spielt in seiner Freizeit Fussball und Badmington und musiziert mit Freunden. Eine weitere Leidenschaft ist das Lesen. Er ist Money-Blogger und engagiert sich für Aufklärung im Finanzwesen – so, dass jede/r es verstehen und Spass daran haben kann: http://www.fizuma.blogspot.com/ http://www.av-fizuma.blogspot.com/ http://www.kids fizuma.blogspot.com/